France 3 chez Tolmao

Episode 2 #CestLedrame

Eh bien oui, le tournage d’un reportage de JT peut être plein de surprises et de rebondissements,

et le métier de journaliste n’est pas facile tous les jours…

Dans cette deuxième partie, on vous raconte comment le reportage chez Tolmao a failli viré

au cauchemar pour l’équipe de tournage 😉

Acte II – Les suites du tournage chez Tolmao : l’espace de coworking

Scène 1 – Interview de Mary

Après avoir filmé la grande salle de réunion, l’équipe de tournage passe du côté de l’espace de travail partagé : la cuisine, les bureaux et la petite salle prévue pour les rendez-vous, petites réunions, formations individuelles, etc.

Mary va être interviewée et cette fois-ci, ça tourne… Mathieu et FX réfléchissent d’abord à l’endroit où elle doit se mettre, comment elle doit se positionner, ce qu’on doit voir derrière elle…

Il ne lui reste plus qu’à être hyper-na-tu-relle et tout ira bien 😉

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Stressée, moi ? mais pas du tooooout ! Je suis juste hyper concentrée !

Les questions s’enchaînent : « Comment est né ce projet ? Pourquoi ? Qu’est-ce que le coworking apporte ? Pourquoi les gens viennent travailler ici ? Que recherchent-ils dans un espace de coworking ? Quelles sont les particularités de Tolmao ? Qu’est-ce ce que ça change d’être situé en périphérie ? »

Et voici LA phrase qui sera conservée pour le reportage :

« Les formules, c’est mensuel, on prend une formule au mois et si à la fin du mois on ne veut pas renouveler le mois suivant, eh bien il suffit de le dire et ça s’arrête, donc c’est très souple ! Et puis le fait de pouvoir choisir une journée, 2 journées ou 3 journées… ça permet de bien coller aux besoins des coworkers ! ».

On est au top.

Scène 2 – Interview de Benjamin, coworker historique chez Tolmao

Benjamin, coworker du premier jour chez Tolmao, sera interviewé mais plus tard. A ce moment-là, il bosse (ben oui, on est là pour ça en fait, même si aujourd’hui on fait un peu nos stars).

Si vous êtes très [mais vraiment très] attentif, vous pouvez même l’entendre pendant l’interview de Mary ; il est en pleine conversation téléphonique… mais FX s’est vraiment appliqué pour qu’on ne le voie pas car vous n’aurez pas manqué de remarquer qu’au départ Benjamin faisait partie des participants de l’atelier. Sauf qu’un appel urgent [DRAME] l’a contraint à quitter le groupe pour rejoindre son poste de travail et ça, ça a beaucoup contrarié FX parce que du coup ça n’allait pas être « raccord ».

Bref, pendant et après l’interview de Mary, Benjamin est au téléphone.

Et puis tout à coup [REBONDISSEMENT DRAMATIQUE], Benjamin se lève en trombe et enfile son bonnet : il doit rentrer chez lui pour réceptionner un lave-linge (oui, la vie des coworkers est palpitante).

Les gars sont blêmes. Ils semblaient finalement avoir pardonné à Benjamin d’avoir quitté l’atelier brutalement, et ils prévoyaient de s’occuper de son cas en interview parce que, quand même, ils l’imaginent trop bien en interviewé et ce serait trop dommage de ne pas la faire. Ni une ni deux, ils négocient pour que Benjamin se rassoit et surtout, surtout, ils aimeraient vraiment qu’il remette son casque parce que ça fait tellement coworker.

Petits yeux de chiens battus pour faciliter la négo.

Benjamin, trop sympa, accepte. Et c’est reparti, nouvelles séries de questions, toujours les mêmes, on ne vous les refait pas…

Et là – on ne le remerciera jamais assez – Benjamin sort le grand jeu pour Tolmao : il s’était lancé le défi de caser le mot «Tolmao» au moins cinq fois dans son interiew… Malheureusement vous ne les entendrez pas tous, le montage aura été fatal à quatre d’entre eux mais le résultat est quand même pas mal du tout :

« L’aspect économique est assez évident : un bureau seul c’est beaucoup plus cher que les abonnements chez Tolmao ; en plus, rencontrer des gens c’est vraiment un bonus qui n’est pas inintéressant, on croise pas mal de gens et c’est très enrichissant ».

Hop, c’est dans la boîte, l’équipe de tournage est soulagée et Benjamin peut aller réceptionner son lave-linge tranquillement… Ouf, tout est bien qui finit bien 🙂